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Les frais de fonctionnement des robots d Les frais de fonctionnement des robots de traite décortiqués

Un institut danois indépendant a comparé les consommations d'eau et d'électricité des cinq installations de traite automatisée du marché.

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La consommation d'électricité et d'eau des installations est le secret le mieux gardé sur le marché du robot de traite. Jusqu'à présent, les études comparatives étaient rares et n'incluaient jamais toutes les installations.

 

Un institut danois indépendant, le Dansk Kvaeg, s'est lancé dans la comparaison de ces deux frais de fonctionnement et a réussi à mettre en évidence des différences très significatives entre les marques et surtout les concepts.

 

Pour Lely, DeLaval et Fullwood, deux installations ont été testées afin de limiter l'influence de l'éleveur. GEA et Sac ne disposaient pas d'une seconde installation dans les environs de la station d'essai.

Le bras industriel peu gourmand en eau

Les deux leaders du marché mondial, DeLaval et Lely ont réussi les meilleures performances combinées en économie d'eau et d'électricité.

Mais lorsqu'il s'agit de comparer uniquement la consommation d'eau, le champion de l'économie est le Sac, qui fonctionne avec un bras industriel articulé. Sa consommation moyenne est deux fois moins élevée que celle de ses concurrents les plus performants : seulement 180 litres d'eau utilisés pour produire 1 tonne de lait.

Le Merlin de Fullwood est de loin de plus gourmand en eau avec 600 litres utilisés sur les deux installations testées.

Au niveau de la consommation d'électricité, Lely et DeLaval se tiennent dans un mouchoir de poche avec entre 19 et 25 kWh par tonne de lait produit.

La bonne surprise pour les utilisateurs de robot est que les consommations mesurées lors de ces essais sont peu différentes de celles constatées sur les installations de traite classique, voire même légèrement inférieures pour l'eau.

 

Econome. L'Astronaut A3 de Lely réalise la meilleure performance en consommation d'électricité et se place deuxième pour la consommation d'eau. C'est le meilleur compromis.

 

 

Performant. Le VMS de DeLaval consomme autant d'électricité que le Lely, mais il s'est montré un peu plus gourmand en eau.

 

 

Exigeant. Dans la moyenne pour la consommation d'eau, le robot GEA Westfalia est le plus gourmand en électricité.

 

 

Gourmand. Peu économe en électricité, le Merlin de Fullwood est surtout un gros consommateur d'eau.

 

 

Différent. Basé sur un bras industriel, le robot utilisé par Sac Christensen et BouMatic est très économe en eau. Sa consommation électrique est dans la moyenne.

 

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